L’utilisation d’un tel dispositif est simple étant donné qu’il suffit de dérouler un câble et brancher le pistolet dans l’auto. Une fois la recharge terminée, on ôte uniquement celui-ci. Lorsqu’on réalise cette démarche, il faut tenir compte de la vitesse ou de la durée nécessaire pour qu’elle soit effective. Les facteurs entrant en jeu durant ce procédé.
Quid de la capacité de la batterie ?
Cette énergie que la batterie a pour mission de stocker se mesure en kilowattheures (kWh). Electriquement, le site de référence de voitures électriques en parle pour faciliter le choix d’une borne. Dans un véhicule thermique, elle correspond à la taille du réservoir. Lorsqu’elle est conséquente, l’autonomie sera également plus importante, quoiqu’elle puisse pendre du temps à se charger. Si le modèle Bolt de Chevrolet a une capacité de 60kW et la gamme Leaf de Nissan, 40kW, il demandera par conséquent plus pour faire son plein.
Qu’en est-il de la puissance maximale acceptée par le véhicule ?
Il est important de la différencier de la puissance de la borne. Avec un branchement sur du 240 V, ce dispositif de 30 A affichera 7,2kW alors qu’un autre avec 15 A en aura à 3,6kW et celui avec 40 A, de 9,6kW. Au fur et à mesure que cette mesure augmente, la recharge sera rapide. Sur le véhicule, l’unité est le même tout en étant présente dans le manuel du propriétaire. La puissance maximale acceptée permet ainsi de connaitre pourquoi il y a une différence de vitesse de recharge entre deux automobiles bien qu’elles utilisent une même borne. La voiture acheminera par ailleurs l’énergie qu’il reçoit en se branchant sur une plus grande puissance.
